Le Telegraphe se met à nu">
Le temps d'une soirée, le Telegraphe prend la nudité à bras-le-corps ! Et se transforme en club, avec des codes spécifiques, à la fois musical et... Vestimentaire !
La salle du cabaret laisse place à un espace d'expérimentations passant par le corps sexué, le mouvement et la scénographie, mené par Sarah Cassenti. Pour la deuxième fois, Nönude, la nuit s'incarne au Telegraphe : si, lors de la première édition, un atelier de dessin vivant était au cœur de la soirée, cette fois-ci toute la place sera donnée à la danse.
Au son enivrant du DJ, les lumières se tamisent, les corps s'éveillent... Apportez votre matériel (carnet, crayons, etc.) et dessinez ce qui devant vos yeux s'animent. Laissez-vous emporter par la musique, entraîner par la danse... Et participez à une soirée hors du commun, expérimentale et mouvante, associant arts plastiques et vivants.