François Veillon, producteur, éditeur et propriétaire du lieu est celui qui tisse la toile et les liens. L'aventure humaine continue… 12 minutes de précision sur Le Telegraphe.
Nous sommes des millions. Passons au milliard, sans en connaître le bout.
Pourtant, les rencontres se font, et souvent, « le monde est petit » est un adage qui abrite nos âmes d’enfant, celui qui croit, aime et reçoit.
L’enfant, c’est lui qui rêve et transmet au monde qui l’entoure une vision, avec pour ambition d’être partagée.
Alors la rencontre se fait, souvent là aussi sans que l’on s’y attende, à l’endroit même où est lâché le convoi de nos idées reçues. Croire, c’est avoir confiance. Savoir, c’est décider d’apprendre. A ce moment précis, et sur un chemin qu’il est parfois délicat de reconnaître, tant les informations qui l’habitent aujourd’hui sont denses et foisonnantes, la rencontre se fait. Le fil qui tisse nos liens. Le lien qui tisse nos idéaux. Les idéaux qui font de nous des êtres conscients, vivants, humains, des rêveurs !
Nous vivons une ère capable de remettre en question le moindre idéal, la moindre croyance, le simple désir d’être soi parfois, voire très souvent. Alors, le doute gagne du terrain. Diviser pour mieux régner devient le salut de nos quotidiens ! Quelle force faut-il développer pour rester unis - vers soi et l’autre. « A cette vision, qui pourrait être à ce moment précis, traduite comme étant ésotérique voire sectaire, alors qu’elle ne viserait qu’à permettre une dissidence non programmée mais nécessaire ! » Nous pouvons voir à quel point nous sommes largués. Nous construisons un lieu de vie, une arche aux mille idées que nous pourrons partager. Un lieu de vie doit se poser la question, ces questions, et permettre un espace fort, autorisant le rêve, au gré des indignés ! Aller chercher les rêveurs que nous sommes, et proposer un espace, un temps qui autorise et renforce nos idéaux.
Nous vivons une ère capable de remettre en question le moindre idéal, la moindre croyance, le simple désir d’être soi parfois, voire très souvent. Alors, le doute gagne du terrain. Diviser pour mieux régner devient le salut de nos quotidiens ! Quelle force faut-il développer pour rester unis - vers soi et l’autre. « A cette vision, qui pourrait être à ce moment précis, traduite comme étant ésotérique voire sectaire, alors qu’elle ne viserait qu’à permettre une dissidence non programmée mais nécessaire ! » Nous pouvons voir à quel point nous sommes largués. Nous construisons un lieu de vie, une arche aux mille idées que nous pourrons partager. Un lieu de vie doit se poser la question, ces questions, et permettre un espace fort, autorisant le rêve, au gré des indignés ! Aller chercher les rêveurs que nous sommes, et proposer un espace, un temps qui autorise et renforce nos idéaux.
C’est notre Liberté qui est en jeu.
07-06-18 Le fil qui parle
ON S'ENGAGE
François Veillon, producteur, éditeur et propriétaire du lieu est celui qui tisse la toile et les liens. L'aventure humaine continue… 12 minutes de précision sur Le Telegraphe.
Nous sommes des millions. Passons au milliard, sans en connaître le bout.
Pourtant, les rencontres se font, et souvent, « le monde est petit » est un adage qui abrite nos âmes d’enfant, celui qui croit, aime et reçoit.
L’enfant, c’est lui qui rêve et transmet au monde qui l’entoure une vision, avec pour ambition d’être partagée.
Alors la rencontre se fait, souvent là aussi sans que l’on s’y attende, à l’endroit même où est lâché le convoi de nos idées reçues. Croire, c’est avoir confiance. Savoir, c’est décider d’apprendre. A ce moment précis, et sur un chemin qu’il est parfois délicat de reconnaître, tant les informations qui l’habitent aujourd’hui sont denses et foisonnantes, la rencontre se fait. Le fil qui tisse nos liens. Le lien qui tisse nos idéaux. Les idéaux qui font de nous des êtres conscients, vivants, humains, des rêveurs !
Nous vivons une ère capable de remettre en question le moindre idéal, la moindre croyance, le simple désir d’être soi parfois, voire très souvent. Alors, le doute gagne du terrain. Diviser pour mieux régner devient le salut de nos quotidiens ! Quelle force faut-il développer pour rester unis - vers soi et l’autre. « A cette vision, qui pourrait être à ce moment précis, traduite comme étant ésotérique voire sectaire, alors qu’elle ne viserait qu’à permettre une dissidence non programmée mais nécessaire ! » Nous pouvons voir à quel point nous sommes largués. Nous construisons un lieu de vie, une arche aux mille idées que nous pourrons partager. Un lieu de vie doit se poser la question, ces questions, et permettre un espace fort, autorisant le rêve, au gré des indignés ! Aller chercher les rêveurs que nous sommes, et proposer un espace, un temps qui autorise et renforce nos idéaux.
Nous vivons une ère capable de remettre en question le moindre idéal, la moindre croyance, le simple désir d’être soi parfois, voire très souvent. Alors, le doute gagne du terrain. Diviser pour mieux régner devient le salut de nos quotidiens ! Quelle force faut-il développer pour rester unis - vers soi et l’autre. « A cette vision, qui pourrait être à ce moment précis, traduite comme étant ésotérique voire sectaire, alors qu’elle ne viserait qu’à permettre une dissidence non programmée mais nécessaire ! » Nous pouvons voir à quel point nous sommes largués. Nous construisons un lieu de vie, une arche aux mille idées que nous pourrons partager. Un lieu de vie doit se poser la question, ces questions, et permettre un espace fort, autorisant le rêve, au gré des indignés ! Aller chercher les rêveurs que nous sommes, et proposer un espace, un temps qui autorise et renforce nos idéaux.
C’est notre Liberté qui est en jeu.