Cette année, le Telegraphe se métamorphose en cabaret, entremêlant les arts, pour une expérience sensorielle et empathique avec le public. Aux artistes phares de la troupe s'unissent, une fois par mois, des invités aussi inspirés que divers, pour que chaque acte qui naisse de ces résidences soit original, animé, empreint d'une couleur.
Après un acte 1 guidé par Omri Swafield, le cabaret se réunit ce mois-ci autour du piano et de la danse. Un même noyau, nourri par de nouvelles influences, pour une composition belle de simplicité, de sincérité... Et de poésie.
"Nous sommes seuls à chaque vide
Et pourtant c'est au centre de l'attention d'un trop-plein que le corps tombe
Vertical animé sans jamais s'arrêter
Tomber ce n'est pas mourir
Tomber c'est aussi sauter"