2024-03-30 Le fil qui parle

Losso Keïta

Losso Keïta est un soleil : né au sein d'une famille d'artistes burkinabé, il est porteur de la tradition Bwaba, celle qui place au cœur de ses croyances le monde végétal. Les génies de la brousse l'accompagnent lorsqu'il fait vibrer les cordes de son kalamengoni, lorsqu'il rythme le sol, calebasse au pied, et lorsqu'il chante jusqu'à vous émouvoir, avec simplicité. 
Pour la scène du Telegraphe, le 30 mars 2024, Losso Keïta s'est entouré de Djéké Isaac Koffi et Abdoulaye Dembélé, le temps d'un concert unique.

Il était une fois, ça commence souvent comme ça… 
Alors qu’ici c’est la foi des grandes cultures orales qui se continue au travers d’esprits portés par l’Amour.
Celui qui fait foi là encore de savoir d’où l’on vient, sans définir là où nous pourrions aller.
Être, et c’est déjà beaucoup.
Maintenant, un chant,
c’est une ouverture, un espace que tous nous pouvons reconnaître et apercevoir quand nos cœurs sont touchés.
C’est l’histoire de toutes ces mères qui aiment
sans adorer
Juste loin et à côté.
C’est un amour dont l’horizon n’a pas de nation, sauf celle de l’instant et sa communion !
Merci Losso, merci à ses parents et ceux d’avant. Quand la transmission devient vertu.
À nos cultures, continuons de raconter, au risque de parfois nous égarer…


30-03-24 Le fil qui parle

Losso Keïta

Losso Keïta est un soleil : né au sein d'une famille d'artistes burkinabé, il est porteur de la tradition Bwaba, celle qui place au cœur de ses croyances le monde végétal. Les génies de la brousse l'accompagnent lorsqu'il fait vibrer les cordes de son kalamengoni, lorsqu'il rythme le sol, calebasse au pied, et lorsqu'il chante jusqu'à vous émouvoir, avec simplicité. 
Pour la scène du Telegraphe, le 30 mars 2024, Losso Keïta s'est entouré de Djéké Isaac Koffi et Abdoulaye Dembélé, le temps d'un concert unique.

Il était une fois, ça commence souvent comme ça… 
Alors qu’ici c’est la foi des grandes cultures orales qui se continue au travers d’esprits portés par l’Amour.
Celui qui fait foi là encore de savoir d’où l’on vient, sans définir là où nous pourrions aller.
Être, et c’est déjà beaucoup.
Maintenant, un chant,
c’est une ouverture, un espace que tous nous pouvons reconnaître et apercevoir quand nos cœurs sont touchés.
C’est l’histoire de toutes ces mères qui aiment
sans adorer
Juste loin et à côté.
C’est un amour dont l’horizon n’a pas de nation, sauf celle de l’instant et sa communion !
Merci Losso, merci à ses parents et ceux d’avant. Quand la transmission devient vertu.
À nos cultures, continuons de raconter, au risque de parfois nous égarer…